• Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Les éditions « Elsass Journal » en pdf
  • Courrier des lecteurs
  • Nous contacter
  • Tabloïd à la demande

Elsass-Alsace Journal

« Relation », une tribune citoyenne

  • Édito
  • Politique
  • Transfrontalier
  • Europe
  • Économie
  • Écologie
  • Histoire
  • Culture
  • Société
  • Les rédacteurs
    • Jean-Philippe Atzenhoffer
    • Jean-Pierre Berg
    • Gilbert Dalgalian
    • Jean-Alain Héraud
    • Robert Hertzog
    • Alain Howiller
    • Patrick Kintz
    • Pierre Klein
    • Yves Plasseraud
    • Jean-Marie Woehrling
Vous êtes ici : Accueil / Politique / 2017 : face à une Alsace qui se rebiffe de plus en plus. Le « Grand Est » survivra-t-il ?

2017 : face à une Alsace qui se rebiffe de plus en plus. Le « Grand Est » survivra-t-il ?

16 février 2017 par Alain Howiller 9 commentaires

Article Vues : 4 459
image_pdfimage_print

(Par Alain Howiller) – L’Alsace et le Grand Est – une histoire sans fin qui risque de connaître de nouveaux rebondissements après les élections en 2017.

Certains rêvent d’un retour vers l’année 1700 de cette manière – mais en 2013, quand l’occasion se présentait, ils ont voté contre…

Le premier Juin de cette année, moins d’un mois après le deuxième tour des élections présidentielles et à quelques jours du premier tour des élections législatives, Philippe Richert, Président de la Région Grand Est, qui réunit depuis le premier Janvier 2016 l’Alsace, la Champagne-Ardenne et la Lorraine, aura sans doute gagné un sacré pari : faire converger en un an et demi les politiques élaborées par les anciennes régions pour définir une politique unifié pour la nouvelle grande région : de la politique menée à l’égard de la jeunesse, de l’économie, de l’agriculture, du sport, de la culture, de l’environnement, du tourisme, du soutien aux communes, de l’artisanat, des transports etc…

À ceux qui, parfois, lui ont reproché de trop s’inspirer des méthodes pratiquées par l’ancienne Région Alsace qu’il présidait, le Président du Grand Est a pu faire valoir, en dressant son bilan à l’occasion des cérémonies de ce début d’année 2017, que la nouvelle organisation territoriale impliquant les 7.500 agents de la collectivité a été définie, que la réorganisation administrative est achevée, que les structures d’autorité ont été mises en place avec, à Strasbourg, un Directeur Général des services assisté d’un adjoint. Il a pu signaler, après avoir relevé que le Grand Est a su adopter ses budgets 2016 et 2017, requis que des Secrétaires généraux ont été nommés sur chacun des sites et que la proximité des services auprès des usagers a pu être installée avec 12 agences territoriales, chaque agence couvrant un territoire d’environ 450.000 habitants et ayant la responsabilité de 20 lycées et encadrant 450 agents.

L’Alsace est-elle trop présente ?

À ceux qui estiment qu’il y a trop d’Alsaciens dans l’administration et la direction de la région, le Président Richert a beau jeu de répondre qu’il n’est pas question de privilégier certains territoires (sous-entendu… l’Alsace !) : les subventions accordées l’ont été en tenant compte de la démographie. Ainsi, si l’Alsace a touché 33 % des subventions, c’est parce que la région représente 34 % de la population du Grand Est, Champagne-Ardenne a touché 25 % des subventions pour 24 % de la population tandis que la Lorraine a, quant à elle, bénéficié de 41 % des subventions car elle représente 42 % de la population. Pour certains opposants, cette répartition relève du « saupoudrage » sans vision d’ensemble : cette vision nous l’élaborons, elle apparaîtra clairement d’ici à Juin, répond le Grand Est.

Pourtant « Notre nouvelle collectivité commence à faire région… La réforme a demandé une mobilisation rarement connue dans le pays… Le travail accompli cette année (en 2016) est énorme, gigantesque… », souligne le Président Richert lorsqu’on l’interroge. Il peut préciser, par ailleurs, que la nouvelle région est deux fois plus grande que la Belgique, qu’elle a fusionné trois anciennes régions, qu’elle compte près de 5,6 millions d’habitants (dont 1.972.949 en Alsace d’après les dernières statistiques de l’INSEE). Il ne rate pas l’occasion de rappeler que le Grand Est a été, en quelque sorte, baptisé à travers une consultation électorale remportée haut la main par la liste qu’il a conduite, sa liste l’a largement emporté : malgré la présence d’une liste socialiste qui aurait du se retirer au deuxième tour pour éviter tout risque d’une victoire du Front National qu’un premier tour avait placé en position de gagner !

Le « Grand Est » est-il désormais un cadre de référence ?

Pour le Président du Grand Est, la nouvelle région s’est installée : la plupart des associations sportives se sont coulées dans le nouveau moule régional : non sans récriminations parfois. C’est ainsi que l’importante « Ligue d’Alsace de football » aurait aimé garder son indépendance avant de se rallier, finalement, à une dénomination faisant référence au Grand Est. Les institutions économiques (Chambres de Commerce et d’Industrie, Chambres de Métiers, Chambres d’Agriculture) ont, elles aussi, adaptées leurs structures. Et le Préfet de la Région Stéphane Fratacci a pu souligner, à Strasbourg siège régional des services de l’État dans le Grand Est : « Je sens les attentes vis-à-vis de la nouvelle région, réalité institutionnelle qui est désormais un cadre de référence… ». L’approche du Préfet reflète le souci de l’État d’être présent dans des régions qui pourraient être tentées de devenir compte tenu de leur taille un « État dans l’État ». Pourtant, ils ne sont plus rares ceux qui doutent de la réforme et qui espèrent qu’une alternance politique pourrait renverser la situation née de la création du Grand Est !

Car l’enracinement apparent qu’évoquent à la fois le Président et le Préfet du Grand Est n’écarte plus les critiques d’un certain nombre d’acteurs plus ou moins influents. Il y a d’abord ceux qui se plaignent des déplacements : ils passent beaucoup de temps et dépensent beaucoup d’argent à se rendre d’un lieu de décision ou de réunion à un autre. Parmi les critiques, il y a ceux qui déplorent une fusion qui estompe – estiment-ils – leur identité, leur visibilité : c’est particulièrement fort en Alsace. Parmi les difficultés à résorber dans le cadre d’une réforme territoriale qui devait engendrer des économies, il y a le nivellement par le haut des primes des agents de la collectivité nouvelle et l’égalisation des taux d’encadrement des personnels des lycées : pour mettre un terme aux disparités nées de la fusion, il faudra – estime le président Richert lui-même – « compter 50 millions de dépenses supplémentaires ! » Ils ne sont pas rares, ceux qui se demandent s’il ne s’agit pas là d’un exemple, en attendant d’autres coût peut-être mal appréciés dès le départ de la réforme !

Quand Richert jette un pavé dans la mare !

Après un peu plus d’un an de mise en place de la réforme territoriale, les opposants n’ont pas baissé les bras en Alsace : la résistance s’organise et on sent dans la population entre Vosges et Rhin, comme un regain d’intérêt que stimule la proximité des élections présidentielles et législatives. Les consultations électorales constitueront sans doute les ultimes champs clos où les champions d’une Alsace retrouvée entendent en découdre ! Il s’agit pour eux soit de pousser les futurs élus à défusionner une région trop grande ou à donner une structure, un statut à l’Alsace qui retrouverait une certaine autonomie au sein d’un Grand Est maintenu. Le mouvement a mis du temps pour gagner les sphères dirigeantes de la politique régionale, mais aujourd’hui le débat est lancé y compris au sein du parti dominant (Les Républicains) en Alsace, parti auquel appartient… Philippe Richert !

À Metz, lors de la traditionnelle cérémonie des vœux, ce dernier a réaffirmé : « Le Grand Est a pris sa place, une dynamique est désormais en marche ». Mais en annonçant, dans le même temps, qu’il ne solliciterait pas de nouveau mandat en 2021 lors des prochaines élections régionales, il a jeté un pavé dans la mare. Il a livré, en quelque sorte, un nouvel argument pour ceux qui veulent que l’Alsace retrouve son autonomie institutionnelle : le successeur du président alsacien tiendra-t-il les engagements de son prédécesseur ? Préservera-t-il la ligne qui inspire l’actuelle équipe du Grand Est ?

Laurent Furst, Député-Maire de Molsheim, Président des Républicains du Bas-Rhin (!), mène la bataille pour « qu’on lui rende l’Alsace » ! « J’ai l’intime conviction », affirme-t-il, « que la grande région est dangereuse pour l’Alsace dont l’économie est rhénane et profondément ouverte à 360 degrés…. Il y a aujourd’hui une volonté extrêmement claire de la part de l’État et du président du Conseil Régional de fusionner tout ce qui peut l’être. Comme exemples, on peut donner les fédérations sportives, les fédérations de chasse, l’ordre des architectes… (…le président de la région affirme…) qu’il ne pense pas qu’il soit possible de revenir en arrière, ce qui est complètement faux… Ce qu’une loi a fait, une loi peut le défaire… »

15.000 signatures déjà, pour le « retour » de l’Alsace !

Et Laurent Furst de lancer une pétition « rendeznouslalsace.fr ». Plus du quart des maires de la région ont déjà adhéré à cet appel que plus de 15.000 personnes ont déjà signé ! (DNA du 14 Septembre et l’Ami Hebdo du 25 Décembre 2016).

Frédéric Bierry, Président (appartenant au groupe des « Républicains ») du Conseil Départemental du Bas-Rhin, ne veut pas d’une dilution totale de l’Alsace dans le Grand Est : « Je veux d’une Alsace qui fasse rêver, car je constate un grand manque d’Alsace… », dit-il. Avec son collègue Éric Straumann, Président (« Les Républicains ») du Conseil Départemental du Haut-Rhin, il veut rédiger un projet de retour à l’Alsace qui, approuvé par les deux conseils départementaux alsaciens, sera soumis aux candidats aux élections législatives du mois de Juin. Ils ont sobrement intitulé leur opération : « Pour l’Alsace ! ».

Philippe Richert, manifestement sensibilisé à la revendication, a lancé l’idée d’une fusion des deux conseils départementaux en une collectivité commune avec laquelle le « Grand Est » pourrait conclure des accords. Frédéric Bierry lui rétorque : « Cette fusion ne suffira pas. (… il vaudrait mieux…) une collectivité à statut particulier comme cela existe déjà ailleurs » (en Corse ou à Paris, par exemple).

Le Grand Est, tout installé qu’il soit selon ses promoteurs, sera en Alsace, un enjeu essentiel des prochaines consultations électorales : le retour à l’Alsace sera – paradoxalement – un thème de campagne pour le Front National aux législatives, même si ce parti qui a toujours été hostile aux régions qui, selon lui, portent atteinte à l’unité de la… nation française ! Pour les mouvements régionalistes et autonomistes (« Unser Land » avait obtenu jusqu’à 15 % de voix lors des dernières élections départementales), les prochaines échéances permettront de réclamer la mise en cause de la fusion dans le Grand Est, l’abandon par un État plus jacobin que jamais d’une politique qui viserait à dépouiller l’Alsace de ses spécificités. C’est ce que défendront les candidats qu’ils soutiendront ou présenteront aux élections présidentielles et législatives.

Les Alsaciens diront-ils « oui ou non » au Grand Est ?

Les deux consultations électorales prendront, dès lors, des allures de consultation populaire pour ou contre la réforme du Grand Est, pour ou contre la restauration d’une structure (et laquelle ?) propre à l’Alsace, une structure qui se situerait au sein ou en marge du Grand Est. Le résultat sera-t-il probant : la force des partisans du Grand Est sera le fait qu’ils tiennent les rênes de la nouvelle collectivité qu’ils gèrent.

La faiblesse de leurs « adversaires » est que, dans la continuité d’une tradition alsacienne bien établie, ils sont divisés. Les tenants alsaciens du Grand Est ne croient pas à une remise en cause.

Laurent Furst, lui, pense que tout est possible à condition que les Alsaciens se mobilisent : « Nos chances de réussite ne sont pas immenses, le chemin est difficile, mais c’est peut-être la dernière chance de l’Alsace qui se joue ! », a-t-il écrit. AH

Source : 25. Januar 2017 von Eurojournalist(e) in Regio

 

image_pdfimage_print

Catégorie(s) : Politique

Commentaires

  1. STRITTMATTER Edith a écrit

    17 février 2017 à 13 h 58 min

    J’ai lu vos articles et celui qui me touche le plus est « le Grand Est survivra-t-il « ?
    J’ai dès le début été hostile au Grand Est, autant pour l’entité administrative qu’il est censé représenter, que par son nom même sacrément provoqué par le président Richert. Evidemment j’avais voté pour la collectivité territoriale d’Alsace le 7 avril 2013 et je fus très déçue du résultat. A mon sens l’enjeu n’avait pas été expliqué au citoyen de base et l’annexion projetée de l’Alsace dans un Grand Est carrément occultée. Pour moi les politiques régionaux sont les premiers coupables.
    Et maintenant ? Si j’apprécie les actions, la détermination et la franchise de Frédéric Bierry (LR) à la présidence du Bas-Rhin, faut-il mettre l’avenir de l’Alsace entre les mains d’un vote LR ou FN au niveau national avec leurs dirigents corrompus ? Cela me choque et j’espère ne pas être la seule ! L’avenir de l’Alsace doit être défendu sur un autre plan plus noble et doit mobiliser des Alsaciens de tous bords.

    Répondre
  2. Emmanuelsass a écrit

    17 février 2017 à 21 h 48 min

    Pour que l’économie reprenne et les emplois avec il faut une région Alsace plus autonome pour que les décideurs et les bénéficiaires soient les plus proches .
    Rendez nous notre autonomie!
    Vive l’Alsace!

    Répondre
  3. Libre a écrit

    17 février 2017 à 21 h 50 min

    Que sur les 100 euro d’impôts verses par les alsaciens ,pas 50 mais 80% nous reviennent!

    Répondre
  4. Dany Voltzenlogel a écrit

    18 février 2017 à 17 h 44 min

    Jetzt làngtz !
    ça suffit, on arrête le Grand Test
    et on rend l’Alsace aux Alsaciens.

    Répondre
  5. Albénésius a écrit

    20 février 2017 à 13 h 52 min

    Sincèrement, je ne pense pas qu’on reviendra en arrière. Beaucoup d’entités (institutionnelles, financières, sportives) ont adopté le périmètre du Grand’Est : les unes (Alsaciennes) parce qu’elles aiment être toujours les premières à obéir et obéir sagement et les autres (Lorraines, Ardennaises voire Champenoises, etc) parce qu’elles voient un intérêt certain ou un certain intérêt.
    L’Alsace a loupé le coche en mars – avril 2013 (je mets mars – avril) car c’est à ce moment que nos chers élus ont oublié d’informer correctement les électeurs. (et ceux qui été informés n’étaient pas d’accord entre eux non plus)
    Dans beaucoup de situations dans le passé nous aurions dû être beaucoup plus « bonnet-rouge » ou « corse » mais comme dit nous sommes de « pauvres alsaciens » serviables à volonté…..et je ne crois pas ou plus à un revirement.

    Répondre
  6. PRELAT a écrit

    21 février 2017 à 11 h 54 min

    Réponse à Albénésius,

    On n’est jamais mieux trahi que par ses élus.
    Surtout ceux qui, bouffis d’ambition personnelle sont prêt à conclure des alliances contre-nature pour arriver à leur fin.

    Prenez le « T » final et faites le glisser au début du nom et vous aurez :
    RICHERT = TRICHER

    Répondre
  7. roscha a écrit

    21 février 2017 à 12 h 36 min

    Grand-Est n’est pas abandon des spécificités alsaciennes et mosellanes ; l’Alsace n’est pas rayée de la carte. L’Alsace est dans la région Grand Est ce qu’elle était en France et le restera. Quant à la question économique, un partage est nécessaire. Que serait sinon la solidarité nationale ? Sinon régionale ? Ce que l’Alsace reverse ou reçoit de la France, elle le partagera, en juste proportion, avec la grande région. Les autres l’acceptent volontiers même si c’est du bout des lèvres .
    L’Alsace qui profite du tourisme voit tout doucement la suspicion s’installer chez ses visiteurs : Qu’avons-nous à faire avec des gens qui nous rejettent ? Pourquoi les Alsaciens en veulent-ils aux Lorrains dont les Mosellans qui pourtant partagent leurs lois spécifiques, les Ardenais, les Champenois ? En sommes-nous à mériter un tel dedain ? Méditez !

    Répondre
    • Jean-Marie Lorber a écrit

      28 février 2017 à 20 h 38 min

      S’il est arrivé que le rejet du Grand Est se traduise par une expression de supériorité ou de dédain par rapport aux régions voisines, on peut dire que cela était le cas d’une minorité réceptive à des slogans populistes; dans les derniers mois cette rhétorique a d’ailleurs (heureusement) disparu.
      Le rejet n’est pas envers d’autres régions et leurs habitants mais envers une forme d’organisation qui nous est imposée et qui ne nous convient pas du tout. Entre autres, parce que nous sommes différents et que nous voulons gérer nos affaires de façon différente à celle des Lorrains, Champenois et Ardennais. Cette dernière affirmation est légitime.
      En conclusion :
      Vive les Lorrains, les Champenois et les Ardennais !
      Mort au Grand Est !

      Répondre
  8. SCHLOEGEL Bruno a écrit

    8 mars 2017 à 12 h 41 min

    Les coups d’accordéon sont inévitables pour les identités/partage qui se cherchent. Tout est question d’échelle, notamment de temps. Redevenus français il y a peu, qu’avions-nous à dire ? Quels élus avions-nous sinon ceux qui pouvaient jouer à ‘plus français que moi » tu meurs ? Il nous reste leurs descendants directs, par le sang ou par leurs idées.

    A l’heure de la nécessaire proximité/relocalisation, la « monarchie » française continue ses ravages et sa cour reste bien fournie. Dans les faits, la déconnexion de ces comportements oligarchiques et népotistes est entamée même si elle est peu visible. La Grand-Est n’est qu’une illusion à faire perdre de l’argent et du temps sous couvert d’une pseudo efficacité. Un exemple : consommer local et administrer grande-région, forcer les structures à se regrouper pour les faire partager des subventions, pour mieux les contrôler et asseoir des pouvoirs sous prétexte de mieux les servir ? Quel intérêt pour la production de légumes ou de produits agricoles (biologiques) en Alsace par exemple ? Nos conditions pédo-climatiques et notre rurbanité n’ont rien à comprendre du Grand-Est. Le local est à construire autour d’un fleuve et non d’une frontière, indépendamment de la vieille idée de nations.

    Bon courage aux politiciens,. N’oubliez pas que la vie réelle continue et s’éloigne de plus en plus des structures politiciennes, même pavées de bonnes intentions.

    Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*
Pour prouver que vous êtes une personne (pas un script de spam), tapez le mot de sécurité affiché dans l'image. Si le mot Invalid d'affiche recharger la page pour obtenir un mot d'Alsace
Anti-spam image

Recherche

Abonnez-vous à notre journal gratuit

Nous suivre aussi sur

  • Facebook
  • Twitter
  • YouTube

Les archives

  • septembre 2018 (7)
  • juin 2018 (9)
  • mai 2018 (9)
  • février 2018 (12)
  • janvier 2018 (4)
  • décembre 2017 (1)
  • novembre 2017 (9)
  • octobre 2017 (15)
  • septembre 2017 (7)
  • juin 2017 (4)
  • mai 2017 (13)
  • avril 2017 (12)
  • mars 2017 (10)
  • février 2017 (13)
  • janvier 2017 (11)
  • décembre 2016 (7)
  • novembre 2016 (4)
  • octobre 2016 (3)
  • septembre 2016 (3)

Vos derniers commentaires

  • meschberger dans Les classes bilingues paritaires français-allemand en danger ?
  • Fryslan. Le Bilinguisme Serein – Words, Sound and Vision dans Fryslan. Le Bilinguisme Serein
  • Helms Paul dans « 83 % des Alsaciens souhaitent le retour à l’Alsace. » Quelques remarques sur le sondage de février 2018
  • vivier dans Une Utopie mobilisatrice commune pour les « anciens » et les « nouveaux » Alsaciens
  • Sylvie Spitzer dans « Course pour la Langue régionale d’Alsace »

Étiquettes

Adrien Zeller Agriculture allemand alsacien Antiquité apprentissage artisanat assurance-maladie bilinguisme Conseil culturel d’Alsace Corse Culture culture bilingue droit des cultes Droit local droit local alsacien-mosellan Environnement Géographie Gérard Longuet Identité culturelle Identité politique Industrie Internationalisation Jean-Guy Talamoni Jean-Pierre Masseret langue Langues Marc Chaudeur Moyen Âge média Pierre Pflimlin psychanalyse relatio Religions Rhin Rhin Supérieur Romains rédacteurs régime local Région Tourisme Transport Vie associative Économie âge d’or

Informations

  • Qui sommes-nous ?
  • L’équipe
  • Mentions légales
  • Nous contacter

Les archives

  • septembre 2018 (7)
  • juin 2018 (9)
  • mai 2018 (9)
  • février 2018 (12)
  • janvier 2018 (4)
  • décembre 2017 (1)
  • novembre 2017 (9)
  • octobre 2017 (15)
  • septembre 2017 (7)
  • juin 2017 (4)
  • mai 2017 (13)
  • avril 2017 (12)
  • mars 2017 (10)
  • février 2017 (13)
  • janvier 2017 (11)
  • décembre 2016 (7)
  • novembre 2016 (4)
  • octobre 2016 (3)
  • septembre 2016 (3)

Les rubriques

  • Manifeste (1)
  • Pétition (2)
  • Bilinguisme (6)
  • Compte rendu (1)
  • Annonce (1)
  • Communiqué (9)
  • Droit (1)
  • Santé (1)
  • Lettre Ouverte (6)
  • Vortrag (1)
  • Billet d'humeur (5)
  • Édition (1)
  • Actualités (3)
  • Éditorial (1)
  • Société (7)
  • Économie (5)
  • Transfrontalier (8)
  • Culture (34)
  • Europe (10)
  • Histoire (3)
  • Politique (48)

Nos partenaires

  • ICA 2010
  • Centre Culturel Alsacien
  • Fédération Alsace bilingue
  • Éditions Allewil Verlag

Copyright @ 2016 ElsassJournal.com

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies.Ok