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Quel rôle joue les médias audiovisuels régionaux pour le maintien de l’identité alsacienne ou l’accélération de sa disparition ?

21 mai 2017 par Jean-Pierre Berg 4 commentaires

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(Par Jean-Pierre Berg) – Un simple observateur vivant dans cette région si spécifique qu’est l’Alsace peut légitimement s’interroger.

Qu’en est-il de l’identité, de la conscience identitaire alsacienne aujourd’hui ?

Il y a moins de 100 ans, au lendemain de la première guerre mondiale, les alsaciens avaient une conscience identitaire très forte. Ils l’ont forgée et affirmée avec courage face aux autorités prussiennes entre 1871 et 1918. Ils l’ont affirmée face aux autorités françaises de la IIIème république “radicale”, anti cléricale après 1920 par l’émergence d’un mouvement autonomiste puissant.

Ils avaient une fierté exprimée sans complexes par rapport à leur “Histoire”. On la ressent encore aujourd’hui chez nombre d’alsaciens. Que se soit par rapport : à la richesse et l’originalité de la gestion des villes de la Décapole à la renaissance dans le cadre du Saint Empire Romain Germanique ; au rôle joué dans l’aventure de l’imprimerie et de la réforme protestante ; à l’adhésion à l’esprit des lumières et l’idéal révolutionnaire français de liberté ; à la contribution des industriels et banquiers alsaciens au développement économique au 19ème siècle ; à la contribution de la vitalité de la recherche universitaire qui a généré 6 prix Nobel en un siècle dans cette petite région ; à l’originalité de la vie intellectuelle, littéraire en particulier par la production d’œuvres en 3 langues (français/allemand/alsacien).

Tout cela a été profondément remis en cause par l’arrivée au pouvoir du national socialisme en Allemagne en 1933 et le cortège de malheurs et de bouleversements engendrés par la 2ème guerre mondiale. Notamment l’annexion de l’Alsace au 3ème Reich en 1940 et l’incorporation de force de toute une génération de jeunes alsaciens. Cette Identité bafouée a été une faute indélébile, d’où rejet…

Depuis 1945 le retour et l’intégration à la France se sont faits par assimilation… progressive. Sur le plan des médias on peut considérer que jusqu’en 1959 une certaine continuité a prévalu avec la période de l’avant guerre. Radio Strasbourg (puisque la télévision ne se développera qu’entre 1955 et 1965) est très écouté. La station produit des émissions de qualité en alsacien et en français : théâtre, sketches, variétés. Il y a un bulletin d’information en allemand. L’orchestre Radiosymphonique de Strasbourg est une référence. Tout le monde en Alsace connaît les premières notes de l’indicatif de radio Strasbourg “S’Elsass unser Landel” (do/la-la/sib/sol/do). Tout le monde écoute “radio Krutenau”. Tout le monde se réjouit de suivre à la radio les facéties de Germain Muller et de ses acolytes dans des pièces de théâtre et sketches grinçants produits après guerre. Tout le monde connait le nom des animateurs dont la voie leur est familière. Je pense en particulier à Jean-Paul Gunstett (qui est encore parmi nous) et à bien d’autres.

Les choses ont changé radicalement à partir de 1959 par une “reprise en mains” et un alignement selon des critères nationaux. Peut-on y voir un lien avec l’avènement de la 5ème république en 1958 ? À voir plus en détail.

Aujourd’hui qu’en est-il de l’identité alsacienne ? Quel rôle jouent les médias audiovisuels régionaux pour son maintien ou l’accélération de sa disparition ? La question est d’autant plus importante que la création de la nouvelle région “Grand Est” en 2016 – qui englobe l’Alsace, la Lorraine et l’ancienne région Champagne-Ardennes – a fait disparaître une représentation politique propre à l’Alsace. Donc, à terme on peut craindre une disparition du peu d’audiovisuel public propre à l’Alsace : France 3 Alsace et France Bleu Alsace.

Au fait, avons-nous de vrais médias audiovisuels publics propres à l’Alsace, dignes de ce nom ? Quelle est leur contribution à l’animation de la vie politique, à la diffusion de la langue et la culture régionale, à la présentation des enjeux économiques, à la valorisation de notre patrimoine historique, de la vie culturelle de notre région ? Assurément la réponse est négative !

La situation est très insatisfaisante car ce qui frappe c’est, sauf exception, l’illisibilité, la pauvreté de la programmation en dépit des efforts faits en matière d’information régionale et le temps restreint de “décrochage” au bénéfice de l’antenne régionale par rapport au réseau national. Ce n’est pas la programmation de l’un ou l’autre magazine qui modifie l’impression d’ensemble. Ce n’est pas la peine de faire la comptabilité des heures de diffusion. On sent que les médias audiovisuels publics régionaux français souffrent d’un manque de moyens budgétaires ; qu’ils sont “plaqués” dans le paysage audiovisuel ; qu’ils ne font pas corps avec la région ; qu’ils ne sont pas enracinés et donc pas appropriés par les alsaciens. Cela est vrai des présentateurs télé et plus encore des présentateurs radio, qui nous apparaissent totalement anonymes, hors sol. Une simple observation montre que FR3 et France Bleu Alsace ne sont pas une vraie télévision et une vraie radio régionales mais une chaîne et une station nationales qui comprend chacune dans sa programmation des décrochages régionaux limités dans le temps à certaines heures plutôt de faible écoute. La programmation radio par exemple se concentre sur la chanson française et des informations pratiques (route, sorties, cuisine, jeux…). Je ne veux pas avoir la cruauté d’esquisser une comparaison avec l’organisation et les moyens du SWR en Allemagne.

Ce qui frappe, c’est l’indifférence de la classe politique alsacienne par rapport à ce sujet. Pourtant il est essentiel puisqu’il s’agit rien de moins que de la survie de l’identité culturelle et linguistique de l’Alsace.

Au niveau de certains élus et de certains partis on sent même une certaine hostilité par rapport à une affirmation forte de l’identité, de la langue et la culture régionale par peur pour l’unité nationale qui n’est pourtant en rien menacée. Au contraire, on ne devrait que se féliciter de la richesse de la diversité régionale en France ; de la contribution de cette diversité au rayonnement et à l’image du pays.

Ce qui frappe encore plus, c’est l’indifférence, le manque d’engagement, le renoncement de la part d’une majorité de la population alsacienne pour le maintien et le rayonnement de sa propre culture : pour continuer à s’exprimer dans sa langue maternelle ; pour perpétuer ses propres traditions. C’est une situation qui est rarissime. La raison qui est souvent avancée c’est le souhait de ne pas se singulariser, de s’intégrer, “d’être comme les autres”. Sur ce plan, la réussite est totale.

“Un peuple qui n’a pas de mémoire, n’a pas d’avenir” répète-t-on souvent.

Il est vrai que ni le système d’enseignement national, ni les médias audiovisuels régionaux ne font la place qu’il faudrait à l’histoire, la géographie, l’économie, la langue et la culture régionale sous toutes ses formes. La transmission de cet héritage unique va donc être rapidement interrompu.

Au niveau de l’audiovisuel régional public on a comme l’impression que tout est organisé de telle façon que les auditeurs et téléspectateurs un peu “exigeants” au niveau de la qualité se tournent tout naturellement vers les médias nationaux.

Par ailleurs on observe que les médias régionaux privés tant au niveau de la télévision que de la radio, ne sont intéressés que par certaines catégories, certains segments d’auditeurs/téléspectateurs comme les jeunes, les sportifs, les adeptes de chansons. Il ne sont pas intéressés à faire revivre et développer les différentes facettes de notre culture régionale.

Pourtant il y aurait de quoi faire ! La matière est là, inexploitée dans tous les domaines. Par exemple au niveau :

CULTUREL

Le théâtre

Aucune pièce en alsacien n’est jamais programmée par France 3 ni en direct, ni après enregistrement, alors que le théâtre alsacien est très vivant avec ses nombreuses troupes à travers toute la région. Je pense au théâtre qui, à l’opéra du Rhin saison après saison présente des pièces classiques du répertoire régional, par exemple de G. Stoskopf, mais aussi aux revues satiriques du théâtre de la Choucrouterie qui seraient ainsi accessibles aux personnes âgées qui ont des difficultés à se déplacer.

Musique et chorales

L’intérêt pour la musique et le chant choral est une spécificité alsacienne. Il y a 1 400 chorales en Alsace et 36 000 choristes.

Il y a aussi un nombre impressionnant d’ensembles musicaux, de groupes de jeunes qui cherchent à obtenir de la visibilité. Que ce soit des ensembles de musique classique, moderne, ou folklorique.

Aucune plage horaire radio ou télé n’est consacrée à ces ensembles orchestraux, en particulier à la musique folklorique, ni aux chorales laïques ou religieuses. Pourtant tout cela est une mine d’or pour les médias régionaux. Au delà de la diffusion des spectacles on pourrait organiser des concours, interviewer des chefs de chœurs, des chefs d’orchestre, des solistes. Susciter des vocations au niveau de la jeunesse.

LA littérature et la création artistique

La littérature alsacienne est riche de son ancienneté puisque ses débuts remontent au moyen âge. Elle est trilingue -allemand, alsacien, français-. L’expression linguistique alsacienne est suivant le cas, tout à la fois, savoureuse, truculente, imagée et poétique. Les auteurs de toutes les 3 expressions linguistiques méritent d’être connus.

Malheureusement aucun média audiovisuel régional n’a jamais programmé de magazine littéraire permettant la présentation d’un auteur, d’une œuvre, d’un courant de pensée qui s’inscrirait par exemple dans l’espace rhénan. Je pense aux frères Matthis, à André Weckmann, à René Schickelé et bien d’autres.

Il en est de même pour d’autres créateurs, qu’il s’agisse de peintres, de sculpteurs, etc…Je pense à Tomi Ungerer.

HISTOIRE ET TOURISME

Le souvenir de la programmation d’une émission entièrement consacrée à un événement historique significatif autre que lié à la première ou la seconde guerre mondiale échappe à la plupart d’entre nous. Et pourtant, l’Alsace a une histoire très riche depuis son appartenance au Saint Empire, à son incorporation au Royaume de France. Il y a une foule d’événements et de personnages régionaux qui mériteraient qu’on en parle d’une manière ou d’une autre. D’autant que l’évocation historique peut-être au service de l’éducation populaire et du tourisme (présentation de villes/villages, jeux, concours).

Je pense à la bataille de Hausbergen en 1262 ; à la construction de la cathédrale de Strasbourg ; à la guerre des paysans en 1525 ; au rôle de Lazare de Swendi auprès de Charles Quint ; à la présentation des œuvres et expositions des musées ; au rôle de pionnier en matière pédagogique du pasteur Oberlin au 18ème siècle ; aux multiples facettes d’A. Schweitzer, etc. Dans ce contexte on peut aussi s’interroger pour savoir si en cette année 2017, à l’occasion du 500ème anniversaire de la proclamation des thèses de Luther, les médias audiovisuels régionaux envisagent une émission sur le protestantisme en Alsace.

SPORT

Tout le monde sait qu’au niveau de la notoriété le champion de rally automobile Sébastien Loeb est plus connu en Alsace qu’Albert Schweitzer !

Aujourd’hui il n’y a pas un domaine plus porteur au niveau régional et local auprès des jeunes et des moins jeunes que le sport et la compétition sportive ?

Et pourtant, France 3 Alsace ne retransmet pas de matchs en direct. Que ce soit pour le football, le basket, le handball, le hockey ou d’autres sports. Quel est le problème ? Est-ce que les fédérations sportives régionales ne sont pas demandeuses ? Est-ce une question de droits de retransmission à payer aux fédérations ? Est-ce une question liée à l’absence d’autonomie de programmation de France 3 Alsace ? Est-ce plutôt le fait que la direction nationale de la chaîne veut donner la priorité à la programmation nationale ?

C’est ainsi qu’il y a quelques mois il n’y a pas eu de décrochage régional pour permettre aux téléspectateurs alsaciens et particulièrement ceux de “l’Alsace bossue” de suivre sur l’écran le match de 16ème de finale de la Coupe de France entre Sarre Union et Lorient.

Par contre ces mêmes téléspectateurs ont pu voir au même moment dans le cadre de la programmation nationale un match de 1ère division entre le PSG et une autre équipe. Tout est dit !

VIE ÉCONOMIQUE RÉGIONALE

Il manque une plage horaire permanente pour une émission régulière centrée sur l’économie régionale alsacienne. Ses défis, ses succès, ses problèmes. Une foule de questions se posent en permanence au niveau global, au niveau des branches d’activités et au niveau des entreprises.

Par exemple, que représente la création de la Région Grand Est pour l’économie alsacienne ? Quelles opportunités ?

Mais aussi une interrogation ! Représente-t-elle un gain ou une perte d’image pour les investisseurs internationaux intéressés à produire en Alsace ? Quelles conséquences sur la coopération avec les entreprises allemandes et suisses ? L’économie alsacienne va-t-elle davantage se tourner vers l’Ouest, se détourner de l’Est ? Qu’en est il de l’adaptation des formations techniques et linguistiques ? Qu’en est-il de l’évolution du marché de l’emploi, notamment transfrontalier ?

Bon nombre de téléspectateurs se posent ces questions.

Une telle émission régulière permettrait aux acteurs clé au niveau régional : chefs d’entreprises, syndicalistes, économistes universitaires, autorités publiques, de familiariser les téléspectateurs avec la réalité de l’économie alsacienne, ses problèmes sectoriels de reconversion et d’adaptation à la concurrence, aux défis écologiques, aux exigences sociales. De présenter les forces, les faiblesses, les projets et les succès des entreprises. Elle serait une tribune, un cadre de débat sur la base de reportages documentaires, d’interviews à réaliser par les équipes de France 3 Alsace.

VIE POLITIQUE

À quand la retransmission en direct des travaux des deux Conseils départementaux et du Conseil régional comme sont retransmis les travaux de l’Assemblée Nationale.

Au delà de cela, il faut savoir que le téléspectateur-citoyen ne veut plus seulement être informé sur un sujet majeur en 2 minutes dans un journal télévisé de 20 mn.

Il souhaite comprendre les enjeux des questions d’actualité régionale par des interviews et mieux encore, des débats à organiser par les médias audiovisuels régionaux au même titre que sont organisés des débats sur les chaînes nationales sur les enjeux nationaux. Il souhaite participer directement. France 3 Alsace répond déjà partiellement à cette question. En effet FR3 programme un débat + ou – politique le samedi matin “la voie est libre”. Malheureusement à une heure de faible audience. À titre d’exemple, nombre de questions régionales justifient d’éclairer le téléspectateur : Quel sentiment par rapport à la Grande région ? Comment revenir à une représentation politique propre à la Région Alsace seule ? Pourquoi fermer Fessenheim ? Quelles énergies alternatives doivent être développées au niveau régional avec le concours des habitants ? Quel rôle pour les habitants en matière d’économies et de production d’énergie ? Grand Contournement Est, pourquoi ? Y a-t-il une alternative ?

En fait il faut bien constater que les médias audiovisuels régionaux ne sont pas utilisés d’une manière optimale pour faire connaître aux auditeurs/téléspectateurs les personnalités politiques et les décideurs de leur région. Il y a incontestablement des progrès à faire dans ce domaine dans l’intérêt de tous et surtout de la démocratie.

Finalement, l’alternative est assez simple.

Voulons-nous de vrais médias audiovisuels publics propres à l’Alsace, dignes de ce nom qui par leur moyens budgétaires, leur durée de diffusion, leur capacité de décision en matière de programmation constituent une contribution importante à la transparence de la vie politique, à la diffusion de la langue et la culture régionale, à la présentation des enjeux économiques, à la valorisation de notre patrimoine historique, et donc de la vie culturelle de notre région ?

Ou, sommes-nous d’accord pour nous contenter de la situation insatisfaisante actuelle ?

N’est-ce pas finalement le rôle des hommes/femmes politiques d’être les “porte-parole” de la volonté générale ?

Encore faut-il que cette volonté existe et s’exprime ! Il n’y a pas de démocratie sans engagement.

Jean-Pierre Berg

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Catégorie(s) : Culture

Commentaires

  1. Kenck a écrit

    23 mai 2017 à 20 h 33 min

    Petit bémol, il ne s’agit pas de Jean-Marie Loeb mais Sébastien Loeb ☺

    Répondre
    • Berg a écrit

      25 mai 2017 à 10 h 38 min

      Merci pour la remarque. On va faire la modification
      Jean-Pierre Berg

      Répondre
  2. Philipps Joseph a écrit

    26 mai 2017 à 11 h 59 min

    Merci infiniment pour cette contribution précise et argumentée. La raison profonde de l’indigence et de l’impéritie en matière de valorisation de la culture alsacienne, au sens large, dans les médias audiovisuels est liée à l’indifférence et à l’inconscience, voire à l’incompétence de beaucoup de journalistes qui n’ont, au fond, que des références et des logiques hexagonales « en tête »,

    Répondre
  3. Vincent Goulet a écrit

    4 juin 2017 à 16 h 09 min

    Le dynamisme culturel alsacien passe par un espace médiatique régional où les faits, les opinions et les rêves puissent se confronter et s’échanger. Vous montrez bien que beaucoup de choses et dans différents domaines pourraient s’exprimer à la radio et à la télévision. Cet espace médiatique manque cruellement, La question est : comment peser pour le faire advenir ? Il n’y a pas que le service public : quid d’Alsace 20, ou d’un réseau de radios locales alsaciennes ? Si l’Alsace veut retrouver un peu d’autonomie politique, il faudrait que la société civile alsacienne ose inventer et s’investir dans des médias qui lui ressemble !

    Répondre

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